Eh bien parce que j'ai été élevée par un Poutine :
Amère Mère en goguette à la mer |
Et que je sais comment fonctionne ce type de cerveau, pour l'avoir été contrainte de l'observer en direct et en live pendant plus de 16 ans...
Ce genre de profil psychologique ne connaît absolument aucune limite, à part celle qu'on lui impose par la force.
Toute ma vie ma mère m'a désigné des objectifs inatteignables en m'assurant que si je les atteignais elle m'aimerait, alors même qu'elle n'avait aucune intention de m'aimer : elle m'a toujours trouvée petite grosse et moche, trop semblable à mon juif de père pour être digne de son amour, contrairement à mon frère, qu'elle était si fière de proclamer 100% Roussille...
Ma mère est antisémite. Elle clame qu'elle ne l'est pas, parce qu'elle a épousé un juif dont elle a eu deux enfants, mais croyez-moi, si vous l'aviez vue comme moi poursuivre mon père avec un couteau de cuisine, la bave aux lèvres en proclamant que mon père était un sale juif aux pieds fourchus un diable qu'il fallait crever, vous n'auriez eu aucun doute quant à son antisémitisme.
Ma mère est telle que Poutine, très douée pour réinventer le passé, le tordre pour lui faire dire ce qu'elle veut ; la dernière fois qu'elle m'a passé un petit coup de fil c'était dans le but de me faire dire qu'elle avait été une mère formidable, alors qu'être une fille sous sa coupe ça a été une tannée, dont je ne me suis jamais remise psychologiquement, parce qu'elle n'a lésiné sur aucun moyen pour me briser à vie...
Poutine, c'est ma mère, et comme je connais ma mère, je puis vous affirmer sans sourciller que vous n'avez aucune chance qu'il s'arrête à l'Ukraine. Aucune.
Surtout s'il gagne. :/
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