vendredi 27 avril 2018

La seule vraie question est... Est-ce que Trump va la tripoter autant qu'il a tripoté Macron...

source : http://www.rfi.fr/economie/20180427-etats-unis-acier-aluminium-menu-rencontre-trump-merkel

Etats-Unis: acier et aluminium au menu de la rencontre Merkel-Trump

media Le président américain Donald Trump et la chancelière allemande Angela Merkel, lors d'une conférence de presse commune à Washington, le 17 mars 2017. REUTERS/Jim Bourg

Trois jours après le président français, Emmanuel Macron, c'est au tour d'Angela Merkel, la chancelière allemande, de rendre une visite à Donald Trump. Sa tâche ne sera pas facile. A plusieurs reprises, le président américain avait critiqué l'Allemagne pour son excédent commercial. Au menu des discussions : le dossier nucléaire iranien, mais surtout les taxes douanières que les Etats-Unis veulent imposer à certains de leurs partenaires commerciaux.
Ainsi, des taxes de 25% toucheront les importations d'acier et de 10% celles d'aluminium. Le Mexique, mais surtout le Canada, le premier partenaire commercial des Etats-Unis et leur premier fournisseur d'acier, en sont pour le moment exemptés. L'Union européenne bénéficie, quant à elle, d'une dérogation provisoire, mais seulement jusqu'au 1er mai, le jour de l'entrée en vigueur de la nouvelle loi.
Le principal conseiller économique de Donald Trump, Larry Kudlow, a laissé entendre que cette exemption ne serait prolongée que si les Etats-Unis obtenaient des concessions. Pas plus de détails sur la nature de ces concessions. Kudlow a seulement évoqué le secteur automobile. Les Américains ne cessent de réclamer une plus grande ouverture des marchés européens à leurs produits.
Pour le moment, les Européens campent sur leurs positions : ils n'entameront aucune discussion avec Washington sans une exemption définitive des taxes américaines. Lors de sa visite, Emmanuel Macron avait été très clair là-dessus, rappelle Bruno Le Maire, ministre de l'Economie. En revanche, si l'UE obtenait cette dérogation, la France serait prête à ouvrir des discussions avec les Etats-Unis sur le futur de l'Organisation mondiale du commerce.

Nan parce que Macron et Trump, hein... Pour un mec que les Russes ont voulu faire passer pour un homosexuel (j'ai le droit, dans le contexte de le dire, là, non ? ^^) pendant sa candidature, qu'est-ce que qu'il s'est fait tripoté en tant que président de la France...










Ce qui pousse d'ailleurs François Hollande à remarquer : "C’est un comportement étrange du côté de Trump. Macron est plutôt passif dans le couple".

M'est d'avis que la rumeur russe ne va pas tarder à devenir américaine... Reste à savoir comment Trump va sod... ahem enc... humhum 
va BIIIIIIIIIIIIIIIIIP ! notre très cher président...

Ah pardon, c'est déjà fait : les Américains nous obligent à admettre notre présence militaire en Syrie, pile poil ce sur quoi notre gouvernement voulait rester screud...

La suite de nos relations avec les USA promet... 
^^

Atta... Les mecs y font grève sur grève pour défendre les droits de mecs qui ne sont même pas encore embauchés, ils emmerdent les usagers, les transports de marchandise, ils coûtent des millions d'euros, on va devoir se farcir en tant que contribuables le paiement de la dette de leur entreprise, et eux, ils osent demander un dédommagement à une victime (parce que la veuve d'un suicidé c'est une victime, ne l'oublions pas... Qui reste seule derrière pour s'occuper des trois gosses ?!) ????!!!!!!!! Nan mais on croit rêver, là, quoi...

source : https://www.ouest-france.fr/economie/transports/sncf/son-mari-s-est-suicide-sur-les-rails-la-sncf-lui-reclame-reparation-du-dommage-5726825


Son mari s’est suicidé sur les rails, la SNCF lui réclame « réparation du dommage »

Le courrier de la SNCF demandant "réparation" a choqué la veuve d'un homme qui s'était suicidé voici deux ans en se jetant sur les rails.
Le courrier de la SNCF demandant "réparation" a choqué la veuve d'un homme qui s'était suicidé voici deux ans en se jetant sur les rails. | REGIS DUVIGNAU / REUTERS
Le 14 avril 2016, dans l’Aisne, un homme met fin à ses jours en se jetant sur les rails. Deux ans plus tard, sa veuve reçoit un courrier de la SNCF lui demandant de fournir les coordonnées de l’assurance responsabilité civile de son mari, en vue d’« obtenir réparation du dommage ».
D’abord quelques mots de condoléances. Puis ces phrases : « En raison de son caractère malheureux, il n’est nullement dans mon intention de rechercher un dédommagement auprès de la famille. Vous priant de m’excuser de ces considérations matérielles en ces pénibles circonstances. » Il n’empêche. L’objet de cette lettre de la SCNF, reçue en début de semaine par Aurore Lecomte-Lavalard, selon l’Union et le Courrier Picard, est bien de fournir les coordonnées de l’assurance responsabilité civile de son mari. Lequel s’est suicidé le 14 avril 2016 en se jetant sur les rails dans l'Aisne. Un geste qui, selon le groupe, aurait entraîné « un surcroît de dépenses » ; du coup, la SNCF souhaite « obtenir réparation du dommage ».
La demande est d’autant plus choquante que ce courrier est arrivé à Chauny (Aisne), au domicile de sa veuve, âgée de 42 ans, et de ses trois enfants, deux ans après la mort de son époux. « Si je l’avais reçu à l’époque, j’aurais pu comprendre, mais là, c’est comme remuer le couteau dans la plaie. »

Une « procédure administrative normale »

« J’ai appelé l’assurance responsabilité civile et ils n’ont plus rien sur mon mari, poursuit Aurore. Forcément, après le décès, ils ferment tout ».
« On est dans une procédure administrative normale », rétorque la SNCF contactée par l’Union. « Quand il y a un suicide, nous nous rapprochons toujours des assurances. On tente de les contacter par différents biais. […] En dernier recours, on a contacté la famille ».
« En aucune façon, on n’agira auprès de la famille après ce courrier », conclut la SNCF. Et au fait, que représente cette « réparation du dommage » demandée ? « Elle concerne dans la plupart des cas le dédommagement des voyageurs en cas de retard », ou la mise à disposition de personnel lors de l’accident.

Un cimetière... C'est pas un lieu public, au fait ?

source : https://www.ladepeche.fr/article/2018/04/26/2787560-cimetiere-profane-dans-le-tarn-200-croix-retournees.html



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Cimetière profané dans le Tarn : 200 croix retournées

Faits divers




200 croix ont été retournées dans le cimetière de Valence-d'Albigeois.
200 croix ont été retournées dans le cimetière de Valence-d'Albigeois.
Satanisme ? Jeux d’enfants ? Acte de folie ? Imbécilité ? Quel motif a-t-il pu pousser une ou plusieurs personnes à accomplir de tels faits qui ont ému les habitants de ce village du Ségala tarnais. La plupart des croix des tombes du cimetière ont été retournées au cours de la nuit de mercredi à jeudi : 200 sur les 350 sépultures que compte le cimetière, selon les enquêteurs.
« On ne sait pas trop ce qui s’est passé, expliquait hier soir Christine Deymié, maire du village. Ce matin, une habitante est allée faire une visite au cimetière, elle a trouvé étrange qu’autour de la tombe familiale, plusieurs croix de sépultures voisines étaient retournées. Elle est venue nous raconter tout ça à la mairie. Avec un adjoint, nous sommes allés voir et on a bien constaté que la plupart des croix étaient effectivement retournées. Elles n’étaient pas détériorées, sauf quelques-unes très légèrement et il n’y avait aucune inscription. C’est étrange ».
Pas de signature donc. Aussitôt alertés, les gendarmes de la localité se sont rendus au cimetière pour constater la réalité des faits. Leurs collègues de la brigade de recherches d’Albi ont à leur tour été mobilisés ainsi que les techniciens de l’identification criminelle.  Avant la remise en état du cimetière, ces derniers ont longuement inspecté les lieux hier après-midi, pour relever la moindre trace, le moindre débris, et effectuer de nombreux prélèvements.

Bref, il s’agissait d’engranger de multiples indices qui serviront aux gendarmes de Valence, chargés de l’enquête.

Commentaire de 'Tsuki sur l'évènement :

Couverture magazine Spirou 10 juillet 2013

BONOBOOOOOOOOOOOOO !!!!

source : http://www.europe1.fr/societe/temoignage-europe-1-une-ex-compagne-de-tariq-ramadan-se-confie-on-a-vraiment-affaire-a-un-manipulateur-3636827

TÉMOIGNAGE EUROPE 1 - Une ex-compagne de Tariq Ramadan se confie : "On a vraiment affaire à un manipulateur"


Majda Bernoussi a entretenu une relation de cinq ans avec l'islamologue, entre 2009 et 2014. Rencontrée par Europe 1, elle ne dénonce aucun viol mais estime s'être faite "avoir" et décrit une emprise psychologique intense.

TÉMOIGNAGE EUROPE 1Elle ne l'accuse pas de viol et ne compte pas porter plainte. Mais Majda Bernoussi estime avoir vécu une relation avec un "prédateur", et son témoignage intéresse les enquêteurs : entre 2009 et 2014, la Belgo-marocaine a fréquenté le prédicateur musulman Tariq Ramadan. Pour la première fois depuis la mise en examen de l'intellectuel, soupçonné de viols, elle raconte, auprès d'Europe 1, l'emprise psychologique qu'elle estime avoir subie, l'accord financier qu'elle a accepté pour se taire et les autres victimes dont elle aurait recueilli les confidences.
"Une relation plus poussée". Majda Bernoussi se décrit comme une musulmane pratiquante. En 2009, elle vient de terminer un ouvrage sur son passé difficile et ses questions quant à la religion et souhaite s'adresser à un "intellectuel musulman". "En pleine quête spirituelle", elle adresse son manuscrit à Tariq Ramadan. "C'est comme ça que le contact s'est fait. Très vite, il me dit qu'il est tombé amoureux de la fille du livre. Je suis un peu étonnée mais à force, on a une espèce de relation épistolaire".
>> Écoutez l'interview intégrale de Majda Bernoussi :
Pendant quelques semaines, ils échangent par Facebook ou par SMS. Puis il propose de la rencontrer, "parce que c'est lui qui est en demande d'une relation plus poussée".

Tous deux se rencontrent. "Pour moi, c'est le début d'une histoire", souffle Majda Bernoussi. Sur internet, la jeune femme a lu que Tariq Ramadan était marié. Mais il jure qu'il est divorcé "devant Dieu et les hommes". "Je le crois à ce moment-là, parce qu'il n'y a pas de raison de douter. Clairement je suis dans une quête spirituelle et pour moi ça part sur quelque chose de sain, de spirituel avec de vrais codes assez carrés", raconte-t-elle.
"Il veut avoir une mainmise sur moi". Mais la relation démarre "bizarrement". "Quand j'émettais un doute il m'en voulait, il me disait, 'je ne suis pas ça'. Je lui disais : 'ça n'est pas une aventure ?',  il me disait 'ne m'insulte pas'", poursuit-elle. "Il ne veut rien entendre, il ne veut pas que j'ai de cerveau, il ne veut pas que je réfléchisse. Il veut avoir une mainmise sur moi."
Entendu sur Europe 1
L'éthique, la morale, la foi, la bonté, c'est des choses qu'il réserve face caméra
Pourtant, la jeune femme ne quitte pas l'islamologue. "J'ai été amoureuse de ce qu'il prétendait être", analyse-t-elle, décrivant une liaison chaotique et des "crises" régulières. "On a vraiment affaire à un prédateur, un manipulateur extrêmement malsain, tout à fait aux antipodes de l'image qu'il donne. (...) J'étais de plus en plus malheureuse, je m'asphyxiais de l'intérieur. C'est ce qu'il veut : une soumission complète. L'éthique, la morale, la foi, la bonté, c'est des choses qu'il réserve face caméra. Hors champ, je n'ai jamais eu affaire à ce type là."
"Quelqu'un que je n'ai jamais vu prier". Selon Majda Bernoussi, ce fossé entre la personnalité publique de l'islamologue et son attitude en privé se vérifie également en matière de religion. "Quand on lui parle de pratique, il balaye d'un geste de la main en vous disant que ce ne sont que des détails. C'est quelqu'un que je n'ai jamais vu prier, jamais." Quant à l'attitude de Tariq Ramadan lors de leurs rencontres, elle ne dénonce pas de violences, contrairement aux plaignantes françaises. Tout juste admet-elle pudiquement "des comportements qui sortaient du cadre habituel".

Pour la Belgo-marocaine, le déclic survient un jour où elle se sent mal, cinq ans après le début de leur relation. "Je suis dans tous mes états et il me regarde en souriant. Au moment où je vois ce sourire, c'est bizarre, ça me réveille." Petit à petit, elle prend du recul sur son histoire : "je n'ai jamais été dans quelque chose d'aussi noir que cette relation, qui a été vraiment destructrice. Il me disait tout le temps : 'vivre, c'est détruire'. Ça a quelque chose de galvanisant pour lui."
"Comme sortie d'une secte". Majda Bernoussi alerte alors des journalistes, des institutions religieuses, et la communauté qui entoure Tariq Ramadan sur les réseaux sociaux. "Je vais sur son Facebook à lui, je me mets à écrire ce qui m'est arrivé", raconte-t-elle. "Insultée, menacée", elle affirme qu'on essaie de "[la] faire taire". Au bout d'un an, "complètement vidée, aussi bien physiquement que moralement", elle accepte de signer une convention proposée par l'intellectuel : contre 27.000 euros, elle supprime les messages relatant leur histoire et s'engage à ne plus en parler publiquement.
Entendu sur Europe 1
Dans la vraie vie c'est un véritable barbare, aussi bien intellectuellement que physiquement 
"Pour lui, il a acheté mon silence, mais pour moi, j’avais tout dit, et pas trouvé d’écho", explique-t-elle. "Donc j’ai pris cet argent d’abord comme un remboursement : c’est moi qui payait souvent, il me disait qu’il n’avait pas d’argent. Mais surtout, comme une sorte de reconnaissance morale de ce qu’il m’avait fait."
"Au moins 25 femmes". Aujourd'hui, c'est le récit de cette relation de "soumission" qui intéresse les enquêteurs : selon nos informations, la police française a demandé à entendre Majda Bernoussi, représentée par l'avocat Eric Morain, dans l'enquête en cours, jugeant son témoignage susceptible d'éclairer la personnalité de Tariq Ramadan.
L'ancienne compagne de l'islamologue affirme en outre avoir échangé avec "au moins 25 femmes" qui se trouvaient dans la même situation qu'elle en 2015. "Il faisait ça de manière industrielle", assène-t-elle. "Dans la vraie vie c'est un véritable barbare, aussi bien intellectuellement que physiquement. (...) Il s'adapte à chaque profil, il n'a aucune limite et il se donne le droit. Il me disait tout le temps : 'je suis protégé, je ne suis pas un homme ordinaire'."
Concernant les accusations de viols et d'agressions sexuelles, Tariq Ramadan nie formellement les faits qui lui sont reprochés par les plaignantes françaises. Mais l'intellectuel a opéré un changement dans sa ligne de défense, la semaine dernière : d'après son avocat, il reconnaît avoir entretenu une "relation" avec l'une des femmes qui l'accusent, "mais pas celle qu'elle décrit". Son conseil, Me Emmanuel Marsigny, qualifie lui de "disproportionnée" la détention provisoire de son client, écroué depuis sa mise en examen, en février.

Face au viol, soyons des bonobos, mesDames. Fini les plaintes jamais enregistrées, les demi-mesures, les deux ans de taule avec sursis pour une vie détruite, fini de remplir nos graals de semence stérile...

source : https://www.ouest-france.fr/europe/espagne/espagne-la-meute-condamnee-pour-abus-sexuels-indignation-des-feministes-5724373

Espagne. « La meute » condamnée pour abus sexuels : indignation des féministes

Des militantes féministes ont contesté la décision du tribunal.
Des militantes féministes ont contesté la décision du tribunal. | VINCENT WEST / REUTERS
Cinq hommes se surnommant « la meute » ont été condamnés à la prison jeudi en Espagne pour « abus sexuels » sur une femme aux fêtes de la San Fermin, mais le crime de viol n’a pas été retenu, ce qui a provoqué la protestation de féministes.
Survenue le 7 juillet 2016 pendant les fêtes populaires de la San Fermin en Navarre (nord), l’affaire avait donné lieu au « procès de l’année » ultramédiatisé en novembre 2017 à Pampelone.
Les cinq Andalous, âgés de 27 à 29 ans - qui se surnommaient « la meute » sur leur groupe de messagerie WhatsApp - ont été reconnus coupables du délit espagnol d'« abus sexuel » sur une jeune Madrilène de 18 ans, aggravé d'« abus de faiblesse », et condamnés à neuf ans de prison.
Mais les juges du Tribunal de Navarre (nord) n’ont pas retenu la notion de viol, selon la lecture publique du jugement.

« Ce n’est pas un abus sexuel, c’est un viol »

Et aussitôt après, des manifestants ont protesté aux portes du tribunal aux cris de « ce n’est pas un abus sexuel, c’est un viol ».
L’un des accusés est membre de la Garde civile - actuellement suspendu de ses fonctions - un autre a appartenu à l’armée. Plusieurs étaient des supporters « ultras » du Séville FC.
Il leur a également été interdit d’approcher la victime à moins de 500 mètres et de la contacter pendant 15 ans. Ils devront lui verser, tous ensemble, une indemnisation de 50 000 €.
La peine de prison infligée est très inférieure aux réquisitions du parquet, qui demandait 22 ans et 10 mois de réclusion contre chacun d’eux et 100 000 € d’indemnisation totale.
Les prévenus, arrêtés dès le lendemain des faits, sont en détention provisoire depuis.

Vague de contestations en Espagne

Une des pièces centrales du procès avait été une vidéo de leurs actes, diffusée avec le message « en train d’en baiser une à cinq ».
La défense avait réclamé l’acquittement, en n’admettant que le vol du téléphone de la victime, abandonnée à demi-nue dans une entrée d’immeuble. Leurs défenseurs soutenaient que la jeune Madrilène - qui avait auparavant bu de la sangria - était consentante puisqu’elle n’avait jamais semblé dire « non » à l’image.
Cela avait suscité toute une vague de protestations en Espagne, avec le slogan « moi, oui, je te crois ».
La procureure avait rejeté les arguments des défenseurs en disant que « l’intimidation, gravissime, avait empêché la résistance ou la fuite ». Elle expliquait que la jeune femme, qui ne s’était jamais adonnée au sexe en groupe, avait rencontré ses agresseurs sept minutes avant le « viol ».
Les manifestations et la grève générale féministes du 8 mars en Espagne - inédites par leur ampleur - avaient fait référence à ce fait-divers retentissant, notamment avec la pancarte « la pornographie crée des meutes ».

C'est pourquoi Mesdames, il est temps pour nous de changer de tactique... 
BONOBOOOOOOOOOOOOOOOOOO !!!!

Une bataille de gagnée... Retournons à la guerre.

source : http://www.lemonde.fr/pollution/article/2018/04/26/l-europe-se-prononce-sur-l-interdiction-des-neonicotinoides_5291075_1652666.html

L’Europe interdit trois néonicotinoïdes jugés dangereux pour les abeilles

Les Etats membres ont adopté vendredi matin la proposition de la Commission européenne d’interdire l’usage de ces insecticides « tueurs d’abeilles ».
LE MONDE | • Mis à jour le | Par

Lors d’une manifestation contre les pesticides, à Grenoble, en 2011.

Serait-ce le début de la fin pour les néonicotinoïdes ? Vendredi 27 avril, les représentants des Etats membres de l’Union européenne ont décidé d’interdire trois produits de cette famille d’insecticides jugés dangereux pour les abeilles sur toutes les cultures de plein air.

La majorité qualifiée requise (55 % des Etats membres représentant 65 % de la population totale de l’UE) a donc été atteinte lors de la réunion du comité spécialisé chargé du dossier – le Comité permanent sur les plantes, les animaux, les denrées alimentaires et les aliments pour animaux. La France, l’Allemagne et la Grande-Bretagne se sont tenues à leurs positions exprimées publiquement et ont voté en faveur de l’interdiction. Quatre pays ont voté contre : Danemark, Hongrie, République tchèque et Roumanie. Pas moins de neuf pays se sont abstenus, dont la Belgique et la Pologne.

Lobbying des industriels de la betterave

Proposé par la Commission européenne, le texte concerne trois néonicotinoïdes (clothianidine, imidaclopride, thiaméthoxame), dont elle avait partiellement restreint l’utilisation en décembre 2013. Il s’agissait donc cette fois non seulement de prolonger ce moratoire, mais aussi de le généraliser à toutes les cultures de plein champ, seul l’usage sous serre restant autorisé.
Des mesures combattues par un lobbying intensif du secteur des pesticides et des industriels de la betterave à sucre, une des cultures jusque-là épargnées par le moratoire. Par ailleurs, un jugement de la Cour de justice européenne, saisie par les deux fabricants de néonicotinoïdes, Bayer et Syngenta, devrait intervenir avant la fin de l’année.
Le 20 mars, près de 90 eurodéputés avaient écrit au président de la Commission pour lui enjoindre de « tout mettre en œuvre pour convaincre les représentants des Etats membres » de voter l’interdiction. Mais un premier vote en comité, le 22 mars, avait été reporté faute de majorité.
Le dossier scientifique concernant ces « tueurs d’abeilles », neurotoxiques et très persistants, est pourtant plus qu’étayé. Considérée comme conservatrice et proche des intérêts des industriels, l’Autorité européenne de sécurité des aliments est elle-même parvenue en février 2018 à la conclusion que les néonicotinoïdes sont très toxiques pour les abeilles mellifères, les bourdons et les abeilles solitaires.

De nombreuses études désignent ces insecticides comme les principaux responsables de l’effondrement des populations d’insectes pollinisateurs. Mis sur le marché dans les années 1990, ils sont appliqués en enrobage des semences lors du semis, c’est-à-dire en usage préventif, et se disséminent rapidement au-delà des cultures, contaminant l’environnement et les fleurs sauvages.
Plus récemment, ce sont leurs effets en cascade sur d’autres espèces animales qui ont été mis en évidence. En octobre 2017, une étude publiée dans la revue scientifique PLoS One avait fait les titres des journaux dans le monde entier. A partir de données de captures d’insectes réalisées depuis la fin des années 1980 en Allemagne, elle suggérait que les populations d’insectes avaient chuté de près de 80 % en moins de trente ans en Europe. En accusation : les « nouvelles méthodes de protection des cultures », qui comprennent les néonicotinoïdes.
En mars, des données publiées par le CNRS et le Muséum national d’histoire naturelle soulignaient une disparition d’un tiers des populations d’oiseaux en quinze ans en France. Une disparition qualifiée par les chercheurs de « proche de la catastrophe écologique » et également attribuée aux pratiques agricoles intensives.

jeudi 26 avril 2018

Après le traumatisme d'une prise de sang...


Guihea Fofowle...

Toucan toqué...


Un coin, des coins...

Heureusement qu'on est entouré d'art,
au Labo d'analyses Quai Jean Bart...

Ça distrait pendant le plantage d'aiguille... ^^

... Rien ne vaut un petit coup de halo solaire pour se sentir mieux

le 23 mars 2018 à 12h33

Mon appétit de livres ayant été déçu...

Vide...


le Lions club a encore frappé...

... Je m'en vais admirer quelques graphes


Fuck Pokemon chez Moker Comics


De près... Grain de peau lézardé

M'aurais-tu dans le nez, Lez ?

De loin le regard énigmatique un chimpanzé courroucé dénigre la bonobo en moi

Je te mettrai en pièce avec mes copines si tu continues à me mater sans respect, singe.

Skate park de Redon reglementation



Come out and play





Une bonne nouvelle...

C'est chouette, non ?

L'oeil qui voit tout ne cesse de me mater


... Tandis que je contourne le bâtiment


Lierre et Triton



VENTing the eVENT




Prophétesse

à rapprocher de ceci...


Pipe à la poubelle



Au fil de la belle Vilaine ...


... La balade est colorée


Il y a peu de chance qu'on détrône le roi des...

... Singes