Oeuvre de 1960-61 de Yasunari Kawabata, prix Nobel de littérature 1968 |
Yasunari Kawabata 1946 (date de naissance de ma mère, ça non plus, ça ne s'invente pas...) |
Ce livre m'avait été conseillé comme un chef-d’œuvre de la littérature par un peigne-zizi qui fréquentait mon précédent blog, m'avait repérée comme esclave sexuelle potentiel, se proposant par exemple de me balader en laisse au bois de Bologne pour me faire tripoter par des inconnus, façon Histoire d'O, quoi...
Ce qui avait fait échouer son plan pour me dresser façon cravache (si si, il me voyait bien comme maso, ce sado), c'était que vivant en Loire Atlantique du RSA, je n'avais pas les moyens de le rejoindre sur Paris où ce trou du cul vivait et exigeait que je vinsse... (Je te traque toujours, ma petit chtouille préférée, je continue de prévenir tes futures proies de ce que tu es, le vérolé).
J'ai un jour trouvé le livre en question par hasard en recyclerie, et je l'ai acquis, pas curiosité, des années après avoir mis un terme à cette relation épistolaire / téléphonique toxique :
Je n'y ai plus pensé, je ne l'ai même pas lu, il se trouve sagement rangé dans ma collection d'ouvrages de littérature japonaise...
Jusqu'à...
Là j'ai repensé aux Belles endormies, et au fantasme dont le tordu que j'évoquais au début de ce billet m'avait fait part, celui de me droguer pour me caresser dans mon sommeil...
C'est finalement quelque chose de beaucoup plus courant que l'on ne le croit avec cette affaire, que ce désir qu'ont de trop nombreux hommes d'avoir une victime endormie en leur pouvoir...
Les viols de Mazan, ce n'est pas l'exception...
C'est la RÈGLE.
EDIT :
l'édition 1991 du catalogue montre le phallus de l'Hermaphrodite endormie L'édition de 2011 ne montre qu'une femme endormie offerte à celui qui la veut violer
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