Etats-Unis: acier et aluminium au menu de la rencontre Merkel-Trump
Le
président américain Donald Trump et la chancelière allemande Angela
Merkel, lors d'une conférence de presse commune à Washington, le 17 mars
2017.
REUTERS/Jim Bourg
Trois jours après le président français, Emmanuel Macron, c'est au tour d'Angela Merkel, la chancelière allemande, de rendre une visite à Donald Trump. Sa tâche ne sera pas facile. A plusieurs reprises, le président américain avait critiqué l'Allemagne pour son excédent commercial. Au menu des discussions : le dossier nucléaire iranien, mais surtout les taxes douanières que les Etats-Unis veulent imposer à certains de leurs partenaires commerciaux.
Ainsi, des taxes de 25%
toucheront les importations d'acier et de 10% celles d'aluminium. Le
Mexique, mais surtout le Canada, le premier partenaire commercial des
Etats-Unis et leur premier fournisseur d'acier, en sont pour le moment
exemptés. L'Union européenne bénéficie, quant à elle, d'une dérogation
provisoire, mais seulement jusqu'au 1er mai, le jour de l'entrée en
vigueur de la nouvelle loi.
Le principal conseiller économique de Donald Trump, Larry Kudlow, a laissé entendre que cette exemption ne serait prolongée que si les Etats-Unis obtenaient des concessions. Pas plus de détails sur la nature de ces concessions. Kudlow a seulement évoqué le secteur automobile. Les Américains ne cessent de réclamer une plus grande ouverture des marchés européens à leurs produits.
Pour le moment, les Européens campent sur leurs positions : ils n'entameront aucune discussion avec Washington sans une exemption définitive des taxes américaines. Lors de sa visite, Emmanuel Macron avait été très clair là-dessus, rappelle Bruno Le Maire, ministre de l'Economie. En revanche, si l'UE obtenait cette dérogation, la France serait prête à ouvrir des discussions avec les Etats-Unis sur le futur de l'Organisation mondiale du commerce.
Le principal conseiller économique de Donald Trump, Larry Kudlow, a laissé entendre que cette exemption ne serait prolongée que si les Etats-Unis obtenaient des concessions. Pas plus de détails sur la nature de ces concessions. Kudlow a seulement évoqué le secteur automobile. Les Américains ne cessent de réclamer une plus grande ouverture des marchés européens à leurs produits.
Pour le moment, les Européens campent sur leurs positions : ils n'entameront aucune discussion avec Washington sans une exemption définitive des taxes américaines. Lors de sa visite, Emmanuel Macron avait été très clair là-dessus, rappelle Bruno Le Maire, ministre de l'Economie. En revanche, si l'UE obtenait cette dérogation, la France serait prête à ouvrir des discussions avec les Etats-Unis sur le futur de l'Organisation mondiale du commerce.
Nan parce que Macron et Trump, hein... Pour un mec que les Russes ont voulu faire passer pour un homosexuel (j'ai le droit, dans le contexte de le dire, là, non ? ^^) pendant sa candidature, qu'est-ce que qu'il s'est fait tripoté en tant que président de la France...
Ce qui pousse d'ailleurs François Hollande à remarquer : "C’est un comportement étrange du côté de Trump. Macron est plutôt passif dans le couple".
M'est d'avis que la rumeur russe ne va pas tarder à devenir américaine... Reste à savoir comment Trump va sod... ahem enc... humhum
va BIIIIIIIIIIIIIIIIIP ! notre très cher président...
Ah pardon, c'est déjà fait : les Américains nous obligent à admettre notre présence militaire en Syrie, pile poil ce sur quoi notre gouvernement voulait rester screud...
La suite de nos relations avec les USA promet...
^^
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